Le scientifique est souvent amené à comprendre comment réagit un système en fonction des facteurs susceptible de le modifier en faisant appel à des méthodes expérimentales scientifiques qui consistent à tester, par des expériences répétées, la validité d'une hypothèse. Pour visualiser cette évolution, il fixe les facteurs d’entrée, mesure une réponse et essaye par la suite d'établir des relations de cause à effet entre les réponses et les facteurs.

            Le cours de plans d'expériences décrit quelles sont les expériences à réaliser et comment  répartir des traitements sur les unités expérimentales dans l’objectif d’obtenir un maximum d’information sur le phénomène étudié en un minimum d’expériences. Ceci est primordial si l’objectif est un gain de temps ou de qualité. Il décrit également l'exploitation des résultats obtenus par analyses statistiques.

Par contre il n'insiste que peu sur le choix des facteurs expérimentaux, le domaine expérimental et les soins à apporter dans la conduite des essais.


La symétrie moléculaire impose une structure aux fonctions d’onde
indépendamment de toute méthode de calcul. En effet, l’hamiltonien de n’importe
quel système aura la symétrie de ce système. Donc la symétrie moléculaire joue un
rôle primordial dans la détermination des fonctions d’onde, en particulier celles
relatives aux orbitales hybrides. En outre, la connaissance de la symétrie
moléculaire permet de prévoir quelles seront les caractéristiques électroniques et
les pulsions vibrationnelles des molécules. Ainsi, par exemple, connaissant la
symétrie d’une molécule, on peut prévoir son spectre I.R, RAMAN,….